Temoignages

♦ « Ce voyage est une vraie réussite, il m’a permis de rencontrer des personnes, des associations, des familles avec leur histoire de vie. Et surtout j’ai découvert l’importance de la place des femmes ».

♦ « Ce voyage a été une véritable immersion que nous avons vécu, nous ne revenons plus comme avant ».

♦ « Chaque famille, chaque village  a son histoire, ses morts, ses prisonniers, et tout au long du chemin, nous avons partagé le pain ».

♦ « Ce qui m’a frappé, ce sont les efforts de tous les Israéliens qui au sein de leur association, travaillent pour la justice. Fadi, Hanan restent pour moi ceux pour qui c’est possible ».

♦ « Je croyais savoir mais je ne savais rien, mais voilà que tout s’set incarné, que je l’ai vécu de l’intérieur et je n’aurai jamais assez de mots pour le dire ».

♦ « Ce voyage a été exceptionnel car il s’est appuyé sur la rencontre forte d’un groupe, de son accompagnatrice, de ses guides palestiniens et israéliens, dans la découverte inimaginable d’enfermement et de résistance du peuple palestinien depuis des années.
Même si cette situation, je l’ai appréhendée à travers les témoignages, elle m’a prise aux tripes d’autant que les rencontres avec les acteurs de paix tant israéliens que palestiniens en montrent l’absurdité mais surtout l’impact physique et psychologique sur chaque homme, femme ou enfant, et les conséquences politiques incalculables. »

♦ « L’accueil qu’on nous a réservé en fait un moment de découverte incalculable. Témoignez lorsque vous reviendrez chez vous est le leitmotiv que chaque homme et femme rencontré durant ce voyage nous a demandé de faire ».

♦ « Ce qui m’a frappé, c’est quand Mohammed a dit : le mur signifie la perte de l’espoir d’un rapprochement avec nos frères israéliens ».

♦ « Nadine nous a emmenés sur les ruines du village de son grand père, détruit en 48, nous avons rencontré un homme et une femme venus en pèlerinage sur leur maison détruite et ils ont raconté : plus que tous les livres d’histoire, ça a été un moment fort du voyage. »

♦ « J’ai découvert la question des Palestiniens Israéliens. J’ai plusieurs fois entendu : dans les Territoires, ils n’ont pas la liberté de mouvement mais ils ont la liberté d’esprit. Ici, en Galilée, nous avons la liberté de bouger mais pas la liberté de penser ».
A l’Université de Naplouse, les témoignages m’ont frappée : « l’éducation, c’est très important pour nous. Pour l’instant on ne peut pas circuler librement , on étudie, on prépare l’avenir.